As another year comes to a close, all I’m craving is cozy sweaters and warm socks, cups of tea and good conversation. (Oh, and a warm puppy if there’s one available – Madison, I’m looking at you.) I’ve always been a driven, ambitious person, but 2015 has been a year of overwhelmingly hard work for me. In my professional life, I have effectively been doing the work of two people since April, with little, if any, reprieve. I set some very lofty blog-related goals – because you never know if you don’t try – from redesigning to growth and collaboration and, I’m proud to say, managed to achieve them. Somehow I found time to write my second book, although the editing process is far from finished. It’s been rewarding, mostly, but also, I’m suddenly realising this week, absolutely exhausting. Part of it probably has to do with age – although I have to say, I really did make turning 30 count – but I don’t know if I’ve ever been this tired. It’s given me a bit of a pause, and I find myself contemplating if I think I can keep up this pace for the rest of my life – and more importantly, if I want to. So I’m ending the last week before Christmas a reflective mood, thoughtfully considering what really matters to me and how I can spend next year focused on those things. Mind you, I’m not about to start making pronouncements about doing only what you love, because in reality what you love doesn’t always pay the bills, and there’s no shame is acknowledging or accepting that. (I’ll save my opinions on being financially sensible for another post but suffice it to say there’s nothing I love enough in the world to make me thing going into debt is justifiable.) One thing I know for sure is that whatever happens in 2016, I’m so lucky to be surrounded by amazing people – Ian, my husband, who dutifully takes all of my blog photos (mostly without complaining…!); Topher, my BFFFFF, who responds to every one my crazy text messages and gleefully responds, “Finally! Merch!” every time I passively consider a new business venture; and my beautiful blogger BFF Lyndi, who understands all of my instagram anxiety and makes even the parts of blogging that are truly work seem fun (usually with a glass of wine!) And, of course, all of you – I’m so grateful that you all keep coming back to my little home on the internet. Much love.
Un autre an se termine et tout ce dont j’ai envie, c’est des pulls doux et des chaussettes chaud, du thé et de l’amitié. (Oh, et un petit chiot mignon – Madison, c’est toi.) J’ai toujours été genre motivée, plutôt ambitieuse, mais l’année 2015 fut pour moi un an de travail écrasant. Au boulot, je fais le travail de deux personnes depuis le mois d’avril, avec très peu, voir même aucun, sursis. En plus, je me suis fixée des buts plutôt élevés pour mon blog – car on ne peut rien accomplir sans essayer – au niveau de la conception du site ainsi que la croissance et la collaboration, et je suis fière de pouvoir dire que j’ai tout accompli. Je ne sais pas comment j’ai trouvé le temps, mais j’ai écrit mon deuxième roman, bien qu’il a encore besoin de beaucoup de révision. Ce fut enrichissant mais, je commence à comprendre cette semaine, hyper fatigant. J’avoue que mon âge doit contribuer à ma fatigue – mais personne ne pourra dire que je n’ai pas commencé ma trentaine en pleine forme – mais c’est la première fois que je sois tellement épuisée. Alors je prends une petite pause, et je réfléchi sur si je peux vraiment maintenir ce rythme de vie – et si je veux le maintenir. Donc je termine la dernière semaine avant noël dans un humeur méditatif. Je me demande ce qui m’est vraiment important et comment je peux passer l’année prochaine à me mettre au point sur ces choses. Ceci n’est pas à dire que j’ai l’intention de déclarer que vous ne devez faire que ce que vous aimez. La vérité, c’est que ce que nous aimons n’est pas toujours payant et nous ne devons pas avoir honte de reconnaitre ou d’accepter cette réalité. (Je me retiens de vous raconter mes opinions au sujet de la finance, mais je suis de l’avis que rien, même l’amour, peut justifier la dette.) La seule chose dont j’en suis certaine, c’est que peu importe ce qui m’arrive en 2016, j’ai la chance d’avoir des personnes incroyables qui m’entourent – Ian, mon mari, qui fait toutes mes photos (presque sans se plaindre… !) ; Topher, mon BFFFFF, qui réponds à tous mes messages débiles et m’encourage toujours ; et ma très belle amie blogueuse Lyndi, qui comprend toujours mon angoisse au sujet d’instagram et qui sait toujours rendre amusant le boulot du blogging (souvent avec un verre de vin !) Et, bien sûr, vous tous – je demeure très reconnaissante que vous y revenez tous les jours pour me lire. Je vous aime d’amour.